Association des correcteurs de langue française

Travailler comme indépendant :
les différents statuts

Le correcteur peut exercer sous différents statuts :

  • statut salarié (dont TAD) ;
  • statut indépendant (EI, EURL, SARL, SASU, en portage salarial, en coopérative, en micro-entreprise), que nous vous présentons ici.

Un correcteur peut cumuler les statuts.

S’il se dirige vers un statut d’indépendant, le correcteur doit bien se renseigner, afin de choisir celui qui correspond le mieux à ses exigences.

EI, EURL, SARL, SASU

EI : entreprise individuelle.
EURL : entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée.
SARL : société à responsabilité limitée.
SASU : société par actions simplifiée unipersonnelle.

Quel statut choisir pour son entreprise :
www.economie.gouv.fr/entreprises/entreprise-choisir-statut-juridique

Salarié porté, entrepreneur salarié

Indépendant ET salarié, c’est possible. Des contrats portés par des sociétés de portage salarial ou des sociétés coopératives permettent de facturer des prestations sous le régime salarié. Découvrez le principe de fonctionnement.

Les grandes lignes du portage salarial :
www.economie.gouv.fr/entreprises/portage-salarial

Le réseau des coopératives :
www.cooperer.coop

Micro-entrepreneur

Régime de travailleur indépendant  créé en 2008 (sous le nom d’auto-entrepreneur), simplifiant la gestion administrative grâce à un versement de cotisations unique et proportionnel au chiffre d’affaires.

Tout savoir sur la micro-entreprise :
www.economie.gouv.fr/entreprises/micro-entreprise-auto-entreprise

Et les droits d’auteur ?

Parfois encore proposée par des donneurs d’ouvrage plus soucieux de faire des économies que de respecter le droit, la rémunération en droits d’auteur ne saurait s’appliquer à un travail de correction !

En savoir plus :
www.secu-artistes-auteurs.fr